Bonjour à tous !
Me voici donc de retour avec une bébé critique sur l'une de mes dernières découvertes : La mille et unième nuit
Tout le monde connais le mythe de Shéhérazade, mariée de force à un sultan sanguinaire. En effet, trompé par sa première femme, l'homme qui pour la punir l'avait faite exécuter, avait décidé de se remarier chaque jour avec une femme différente, qu'il tuerait une fois la nuit passée. Lorsqu'arrive le tour de Shéhérazade, cette dernière décide de raconter une histoire et d'aller se coucher avant le dénouement, promettant à son mari la suite la nuit suivante. Ce dernier se voit donc obligé de reporter l'exécution, encore et encore, Shéhérazade ayant toujours l'un de ses fameux contes à narrer, tel que Simba le Marin, Ali Baba et les quarante voleurs ou encore Aladin et la lampe merveilleuse. Près de trois ans plus tard, la mille et unième histoire est finie, mais qu'advient-il de Shéhérazade ? C'est ce que raconte cette BD...
Titre : La mille et unième nuit
Auteur : Etienne LE ROUX
Illustrateur : Vincent FROISSARD
Edition : Soleil
collection : Métamorphose
Date de parution : 27 octobre 2017
Nombre de tome : one-shot
Résumé : Laissez-vous conter l’incroyable mille et unième nuit des célèbres contes de Shéhérazade... Le Sultan Shariar gouverne en imposant ses vues à la ville de Rum. Marié à Scheherazade, une conteuse qui tient le peuple éveillé, il accepte un pari fou lancé par le lion roi, Baali’m : lequel d’entre eux sera jugé le meilleur roi ? Leur juge sera un vieil homme dont la femme et le fils ont été respectivement transformés en âne et en singe par Lilith, la femme de Salomon, dans d’étonnantes circonstances...
Il m'est difficile d'ajouter quoique se soit sur l'histoire sans la spoiler, mais c'est un véritable voyage à travers le Moyen Orient de nos conte d'enfants, qui nous fait redécouvrir ce monde féérique où les caravansérails côtoient les djinns et les Dieux au son des ouds et du vent dans les dunes. J'ai été totalement charmé par le graphisme d'une délicatesse exquise de cette BD, tout dans des tons bleutés et ocres très oniriques rappelant l'heure tardive à laquelle sont contés les histoires comme celle-ci. Le grain des dessins peut même être mis en parallèle avec le sable du désert, et chaque case m'a donné l'impression d'être un tableau à part entière.
Malgré le petit nombre de page le scénario m'a fait rêvé et j'ai trouvé les personnages très attachants, notamment la petite sœur de Shéhérazade qui est très touchante dans sa volonté à protéger le bonheur de sa sœur. Même le sultan est sympathique !
J'ai emprunté cette BD à la bibliothèque de Brignais et je ne pourrais que vous conseiller de faire de même !
Pleins de bisous et à bientôt !
Wasab
Me voici donc de retour avec une bébé critique sur l'une de mes dernières découvertes : La mille et unième nuit
Tout le monde connais le mythe de Shéhérazade, mariée de force à un sultan sanguinaire. En effet, trompé par sa première femme, l'homme qui pour la punir l'avait faite exécuter, avait décidé de se remarier chaque jour avec une femme différente, qu'il tuerait une fois la nuit passée. Lorsqu'arrive le tour de Shéhérazade, cette dernière décide de raconter une histoire et d'aller se coucher avant le dénouement, promettant à son mari la suite la nuit suivante. Ce dernier se voit donc obligé de reporter l'exécution, encore et encore, Shéhérazade ayant toujours l'un de ses fameux contes à narrer, tel que Simba le Marin, Ali Baba et les quarante voleurs ou encore Aladin et la lampe merveilleuse. Près de trois ans plus tard, la mille et unième histoire est finie, mais qu'advient-il de Shéhérazade ? C'est ce que raconte cette BD...
Titre : La mille et unième nuit
Auteur : Etienne LE ROUX
Illustrateur : Vincent FROISSARD
Edition : Soleil
collection : Métamorphose
Date de parution : 27 octobre 2017
Nombre de tome : one-shot
Résumé : Laissez-vous conter l’incroyable mille et unième nuit des célèbres contes de Shéhérazade... Le Sultan Shariar gouverne en imposant ses vues à la ville de Rum. Marié à Scheherazade, une conteuse qui tient le peuple éveillé, il accepte un pari fou lancé par le lion roi, Baali’m : lequel d’entre eux sera jugé le meilleur roi ? Leur juge sera un vieil homme dont la femme et le fils ont été respectivement transformés en âne et en singe par Lilith, la femme de Salomon, dans d’étonnantes circonstances...
Il m'est difficile d'ajouter quoique se soit sur l'histoire sans la spoiler, mais c'est un véritable voyage à travers le Moyen Orient de nos conte d'enfants, qui nous fait redécouvrir ce monde féérique où les caravansérails côtoient les djinns et les Dieux au son des ouds et du vent dans les dunes. J'ai été totalement charmé par le graphisme d'une délicatesse exquise de cette BD, tout dans des tons bleutés et ocres très oniriques rappelant l'heure tardive à laquelle sont contés les histoires comme celle-ci. Le grain des dessins peut même être mis en parallèle avec le sable du désert, et chaque case m'a donné l'impression d'être un tableau à part entière.
Malgré le petit nombre de page le scénario m'a fait rêvé et j'ai trouvé les personnages très attachants, notamment la petite sœur de Shéhérazade qui est très touchante dans sa volonté à protéger le bonheur de sa sœur. Même le sultan est sympathique !
J'ai emprunté cette BD à la bibliothèque de Brignais et je ne pourrais que vous conseiller de faire de même !
Pleins de bisous et à bientôt !
Wasab