OUIIIII ENFIN LA VOILA, JE L'AI ENFIN TERMINEE CETTE FICHUE CRITIQUE
Hum, je vous présente...
(Mort de rire, toutes les images que j'ai mises sont dégueulasses, désolée :''''') )
Le jeu en lui-même / La forme :
Gameplay : 4/5
Graphismes : 4,5/5
Fluidité : 5/5
Total : 13,5/15 ou 18/20
À l’intérieur du jeu / Le fond :
Personnages : 4/5
Scénario : 3,5/5
Aspect historique : 4/5
Total : 11,5/15 ou 15,3/20
Note globale : 16,7/20
Puis, comme c’est le meilleur AC depuis le IV, on rajoute un point gratos…
DONC : 17,7/20
Je vais détailler chaque point pour me donner une ligne conductrice et éviter de blablater pendant des heures sur Bayek, Aya, Bob, César, Cléopâtre (comment ça, un nom se démarque des autres ?).
Gameplay :
Graphismes :
Fluidité :
Personnages :
Scénario :
Aspect historique :
Hum, je vous présente...
ASSASSIN'S CREED ORIGINS
(Mort de rire, toutes les images que j'ai mises sont dégueulasses, désolée :''''') )
Le jeu en lui-même / La forme :
Gameplay : 4/5
Graphismes : 4,5/5
Fluidité : 5/5
Total : 13,5/15 ou 18/20
À l’intérieur du jeu / Le fond :
Personnages : 4/5
Scénario : 3,5/5
Aspect historique : 4/5
Total : 11,5/15 ou 15,3/20
Note globale : 16,7/20
Puis, comme c’est le meilleur AC depuis le IV, on rajoute un point gratos…
DONC : 17,7/20
Je vais détailler chaque point pour me donner une ligne conductrice et éviter de blablater pendant des heures sur Bayek, Aya, Bob, César, Cléopâtre (comment ça, un nom se démarque des autres ?).
Gameplay :
C’est le renouveau pour AC, qui se lance dans un style plutôt RPG, et dont le système de combat m’a fait penser à ceux des MMORPG auxquels je jouais au collège… Je dois avouer m’être bien fait latter la gueule lors du 1er combat d’introduction (et qui sert de didacticiel). Je m’attendais à cliquer bêtement sur les boutons pour défoncer mon ennemi en 2-2. Sauf que bah non. Surprise ! Du coup, quelques coups de hache dans la gueule plus tard, je me suis dit « Oula, attends, ç’a changé. C’est plus aussi facile ». Ouais, car c’est là le point qui change pas mal les combats d’AC : ils sont équilibrés, ils présentent des challenges (avec des soldats super rapides, d’autres très résistants, certains avec des sales haches qui font peur…), et ils vous donnent envie d’être un vrai ninja plutôt qu’un berserker. Ainsi, le jeu pousse un peu le joueur dans ses retranchements en mode « Réfléchis avant de foncer tête baissée, gros bêta ».
Qui dit combats, dits armements. Et on est servi ! Déjà depuis le II, on avait un petit panel d’armes différentes : épées de toutes formes, lames secrètes, armes lourdes, armes à distance, outils comme des fléchettes… On retrouve cette sauce dans Origins, accompagnée d'un système de niveaux, avec, pour chaque niveau, un attribut en plus pour l’arme (ou l’armure). Je me retrouve ainsi équipée de deux arcs ultra badass enflammés (un peu cheaté, j’avoue). D’ailleurs, c’est le délicieux retour de l’arc dans AC, qui manquait douloureusement du I à Revelations, jusqu’au III où on s’est tous amusé à planter des flèches dans le cul des bambis (comment ça, vous l’avez pas fait ?).
Et c’est pas un arc, mais 4 arcs différents qui sont disponibles, avec deux arcs à équiper en même temps. On a ainsi l’arc « basique », efficace à moyenne distance, assez précis, avec une durée de chargement correcte. Puis on a l’arc léger, qui mitraille l’ennemi de petites flèches en rafale, l’arc à distance pour dégommer des ibis depuis votre fier destrier, et l’arc qui permet de tirer cinq flèches en même temps de manière moins précise. Ceci secondé par un choix plus que sympa d’armes différentes : lames simples, recourbées, haches, bâtons, dagues, lances…
Quant à l’équipement, il est améliorable par niveau au fil du jeu avec des matériaux à collecter. On peut choisir une apparence avec des tenues diverses et variées aussi à acquérir au fur et à mesure du jeu.
Qui dit combats, dits armements. Et on est servi ! Déjà depuis le II, on avait un petit panel d’armes différentes : épées de toutes formes, lames secrètes, armes lourdes, armes à distance, outils comme des fléchettes… On retrouve cette sauce dans Origins, accompagnée d'un système de niveaux, avec, pour chaque niveau, un attribut en plus pour l’arme (ou l’armure). Je me retrouve ainsi équipée de deux arcs ultra badass enflammés (un peu cheaté, j’avoue). D’ailleurs, c’est le délicieux retour de l’arc dans AC, qui manquait douloureusement du I à Revelations, jusqu’au III où on s’est tous amusé à planter des flèches dans le cul des bambis (comment ça, vous l’avez pas fait ?).
Et c’est pas un arc, mais 4 arcs différents qui sont disponibles, avec deux arcs à équiper en même temps. On a ainsi l’arc « basique », efficace à moyenne distance, assez précis, avec une durée de chargement correcte. Puis on a l’arc léger, qui mitraille l’ennemi de petites flèches en rafale, l’arc à distance pour dégommer des ibis depuis votre fier destrier, et l’arc qui permet de tirer cinq flèches en même temps de manière moins précise. Ceci secondé par un choix plus que sympa d’armes différentes : lames simples, recourbées, haches, bâtons, dagues, lances…
Quant à l’équipement, il est améliorable par niveau au fil du jeu avec des matériaux à collecter. On peut choisir une apparence avec des tenues diverses et variées aussi à acquérir au fur et à mesure du jeu.
N’oublions pas Bob. Fier Bob. Bob est mon fier destrier. Qui a parcouru l’Égypte d’Alexandrie au Désert Blanc en passant par Memphis, Gizeh ou encore Siwa. Oui, bon, une monture, quoi. Pour rester dans l’ambiance, vous pourrez chevaucher un dromadaire (je crois que ce sont des dromadaires et non des chameaux haha). Mais comme les chevaux se déplacent plus vite, j’ai préféré ces derniers, bien que ça casse un peu l’image « Égypte antique ».
On a aussi l’occasion de voyager sur de petites embarcations marines pour rejoindre les milieux des lacs, comme le faire par la nage en appréciant les fonds marins (tous créés dans le jeu).
On a aussi l’occasion de voyager sur de petites embarcations marines pour rejoindre les milieux des lacs, comme le faire par la nage en appréciant les fonds marins (tous créés dans le jeu).
Puis puis puis avant que j’oublie, Senuuuuuu ! Senu, l’aigle de Bayek. Alias la nouvelle vision d’aigle. Car oui, adieu la vision d’aigle cheatée dans ACO, bonjour Senu. Passez en mode aigle, qui vous offre une vue du ciel, pour détecter les ennemis, les pièges, les entrées et sorties… C’est très ingénieux comme méthode, bien qu’aussi WTF que la vision d’aigle originelle :’)
Il y a aussi un système de compétences à débloquer avec des points de… compétence, à acquérir au fur et à mesure du jeu, avec une sorte de barre d’expérience, qui permet d’acquérir des niveaux (jusqu’à 40). A chaque niveau gagné, un point de compétence débloqué, avec lequel on peut choisir d’avoir de nouvelles attaques, de gagner de l’expérience avec une suite d’assassinats réussis, de respirer plus longtemps sous l’eau… A vous de choisir quel voie vous préférez développer.
Graphismes :
Alors là. *se lèche les babines*. Ben. Ben y’a pas de mots, en fait. C’est vrai qu’on fait des jeux de plus en plus beaux, et tout, mais c’est l’immersion que je trouve vraiment prenante dans ACO, plus que la beauté du jeu en lui-même (car, en termes de réalisme, ACO n’est pas le meilleur !). On ressent la chaleur du désert, le trouble de l’eau, le vent au sommet des pyramides, l’ambiance dans les villes, la poussière dans les yeux…
Les personnages sont plein de petits détails, les paysages sont aussi beaux que variés, les armes, tenus, animaux et végétaux sont divers et impressionnants.
Et les balades dans les villes comme dans les endroits isolés sont un véritable délice pour les yeux. On passe des pyramides à moitié effondrées à Cyrène, ville gréco-romaine qui est juste sublime, sans oublier Alexandrie, bouffie de vie, de sons et de couleurs, à Memphis, où la lourdeur du temps se mêle au scénario, à Crocodilopolis, empreinte du culte des Dieux, Siwa, oasis égyptienne… Puis il y a les tombeaux, les fonds marins, les grottes, les montagnes (les lieux des Précurseurs qui font peur sa mère ahahahahaha).
Et les balades dans les villes comme dans les endroits isolés sont un véritable délice pour les yeux. On passe des pyramides à moitié effondrées à Cyrène, ville gréco-romaine qui est juste sublime, sans oublier Alexandrie, bouffie de vie, de sons et de couleurs, à Memphis, où la lourdeur du temps se mêle au scénario, à Crocodilopolis, empreinte du culte des Dieux, Siwa, oasis égyptienne… Puis il y a les tombeaux, les fonds marins, les grottes, les montagnes (les lieux des Précurseurs qui font peur sa mère ahahahahaha).
Fluidité :
Rien à redire sur le moteur graphique du jeu (bon à part quelques bugs d’affichage qui peuvent survenir quand les jeux de lumière et d’ombre deviennent lourds à supporter pour ma pauvre Georgette) qui nous permet de passer de terre, air à mer en quelques secondes.
La course à cheval se fait sans accrocs, les chutes non plus, on plonge, on saute, on court, on passe de toit en toit sans soucis, cela sachant que la carte du jeu est juste énoooooooormissime. Pour vous faire une idée, c’est celle de Black Flag (voire peut-être plus grande, je sais pas), sauf que, cette fois, toutes les parties inaccessibles d’ACIV ou les mers sont remplacées par des endroits physiques où vous pouvez aller.
(Pour avoir complété la map à 100%, c’est une sacrée expérience héhéhéhé).
La course à cheval se fait sans accrocs, les chutes non plus, on plonge, on saute, on court, on passe de toit en toit sans soucis, cela sachant que la carte du jeu est juste énoooooooormissime. Pour vous faire une idée, c’est celle de Black Flag (voire peut-être plus grande, je sais pas), sauf que, cette fois, toutes les parties inaccessibles d’ACIV ou les mers sont remplacées par des endroits physiques où vous pouvez aller.
(Pour avoir complété la map à 100%, c’est une sacrée expérience héhéhéhé).
Personnages :
Oyez, oyez, chers amis ! Saluons Bayek, héros d’ACO, et Laia (Laya ? est-ce qu’elle s’appelle au moins Laia…..), héroïne du présent.
Je vais commencer par Laia (on va l’appeler comme ça, OK ? (bon, en fait, c'est Layla, mais chuut)), qui est la madame qu’on incarne dans la partie « présent » du jeu. Comme vous le savez tous
Laia est une femme chercheuse qui s’intéresse beaucoup à la technologie de l’Animus et au conflit qui unit Assassins et Templiers depuis des siècles. Elle est indépendant de n’importe quel camp, mais aimerait rejoindre Abstergo pour développer la technologie de l’Animus. Elle a découvert dans un tombeau en Égypte (qui se révèle être celui de Bayek et Aya) des traces ADN qui vont lui permettre de se connecter aux mémoires de Bayek et Aya.
Je vais commencer par Laia (on va l’appeler comme ça, OK ? (bon, en fait, c'est Layla, mais chuut)), qui est la madame qu’on incarne dans la partie « présent » du jeu. Comme vous le savez tous
- Spoiler:
- Desmond est mort comme une fiente dans le III et n’a trouvé de digne successeur (‘fin, y’a bien la rumeur d’un fils caché, qui serait aussi un Sage (ILLUMINATI), mais ce sujet est effleuré dans les comics et on a rien de concret…)
Laia est une femme chercheuse qui s’intéresse beaucoup à la technologie de l’Animus et au conflit qui unit Assassins et Templiers depuis des siècles. Elle est indépendant de n’importe quel camp, mais aimerait rejoindre Abstergo pour développer la technologie de l’Animus. Elle a découvert dans un tombeau en Égypte (qui se révèle être celui de Bayek et Aya) des traces ADN qui vont lui permettre de se connecter aux mémoires de Bayek et Aya.
- Spoiler:
- À la fin, elle est abordée par William Miles, alias papa-de-Desmond. Ce vieux sournois (hum, pardon) lui propose alors de rejoindre le camp des Assassins, proposition qui, après quelques négoces, semble lui plaire.
Maintenant, le passé… Wah, j’ai tellement de choses à dire que j’ai l’impression de cette critique va faire une nouvelle haha.
Je vais faire un peu bêbête comme présentation, mais ça me facilite les choses !
Je vais faire un peu bêbête comme présentation, mais ça me facilite les choses !
Bayek (Balek si on veut rire un peu) : notre protagoniste Égyptien au téton d’enfe-pardon. Notre pas-Assassin de l’Égypte Antique, à peine perturbé par les cachettes des Précurseurs, tout juste embêté par de pas-Templiers. Je sais pas trop comment le décrire… Bon, disons simplement : classe, intelligent, aussi calme qu’enragé, rongé par le chagrin et débordant d’amour pour son peuple, son pays et ses proches… Une personnalité attachante dans un homme crédible, fragile, mais solide. Pour Bayek, tout bascule le jour où
- Spoiler:
- il en vient à planter une dague dans le cœur de son fils. Comment ça, je fais dans le tragi-tragique ? Bon, reprenons. Le pharaon de l’époque, Ptolémée, frère de Cléopâtre (excusez-moi les historiens, je me passe de préciser les chiffres qui accompagnent leur titre), est manipulé dans l’ombre par un groupe de sales types qui veulent mener l’Égypte sur une certaine voie. Ces sales types ont découvert un tombeau à Siwa, oasis de naissance de Bayek et son fils, qui accorderait un grand pouvoir… Vous voyez le genre ? Et donc, ces sales types sont persuadés que Bayek, alors Medjaÿ (une sorte de protecteur des Égyptiens), sait comment ouvrir le tombeau. Ce n’est malheureusement pas le cas et, utilisant son fils comme moyen de pression, ils le poussent à tuer – involontairement, bien sûr, dans un geste incontrôlé – Khemou (qu’il a eu avec Aya, au passage).
- Spoiler:
- et l’amènera à toujours plus s’éloigner d’Aya SNIF
Aya : LA nana badass du jeu (en plus de Cléopâtre). La nana de Bayek. Ou plutôt, celle qui a permis à notre protagoniste de pas péter les plombs, de rester dans le droit chemin, de ne pas oublier ses objectifs et ses principes, et, encore plus que son mari, celle qui aura été à l’origine de la Confrérie des Assassins. C’est Aya, qui, aussi dans une quête de retrouver le goût de la vie après la mort de son fils, va aider Cléopâtre à prendre le pouvoir et instaurer cette espèce de clan d’hommes et femmes qui « travaillent dans l’ombre pour servir la lumière ».
Elle a un côté un peu implacable qui fait d’elle une personnalité un peu plus tranchante que celle de Bayek. On est amené à la contrôler lors de rapides séquences de combat naval (on les oublie plus depuis le III haha). Aya respire le bon sens, la force, la détermination, le courage… C’est une femme forte, mais pas dévorée de pouvoir ni de reconnaissance. Elle fait ce qu’elle estime être son devoir et attend des autres qu’ils fassent de même.
Elle a un côté un peu implacable qui fait d’elle une personnalité un peu plus tranchante que celle de Bayek. On est amené à la contrôler lors de rapides séquences de combat naval (on les oublie plus depuis le III haha). Aya respire le bon sens, la force, la détermination, le courage… C’est une femme forte, mais pas dévorée de pouvoir ni de reconnaissance. Elle fait ce qu’elle estime être son devoir et attend des autres qu’ils fassent de même.
Bob : j’estime que Bob mérite d’être présenté après les deux protagonistes. Bob est mon fier destrier. D’une jolie robe sable, il est harnaché d’un équipement carrément badass et effrayant. Bob a parcouru des milliers de kilomètres, m’a accompagnée dans le Nil, m’a suivie au sommet des montagnes, a subi le soleil tapant au milieu des dunes à perte de vue, fui les lions et m’a portée au milieu des combats mortels. Bob est mon fier destrier et il mérite d’être connu pour sa valeur.
Cléopâtre : ben c’est Cléopâtre, quoi. Belle, intelligente, manipulatrice, ambitieuse, amoureuse. Nan, en vrai, elle est exploitée de manière assez intéressante dans le jeu. Bayek et Aya choisissent de la soutenir dans sa conquête du trône aux côtés des Romains de Jules César, mais ils la remettent plus d’une fois en question suite à sa personnalité et à sa façon de faire. Dans le jeu, on est immédiatement frappé par son charisme et sa prestance, qui sont vraiment ses points forts.
On n’est cependant pas dans le romantisme et Cléopâtre présente des ambiguïtés qui déplairont vivement à Bayek, puis à Aya.
On n’est cependant pas dans le romantisme et Cléopâtre présente des ambiguïtés qui déplairont vivement à Bayek, puis à Aya.
Je ne vais pas parler plus en détails d’autres personnages, mais sachez qu’il y a d’autres personnalités assez exploitées pour être retenues et qui sont intéressantes. Des caractères variés, des antagonistes qui vous donnent pas envie de vous frotter à eux, des trahisons, des mensonges, des alliances bancales…
Scénario :
Le scénario change de manière assez radicale des autres AC, avec un protagoniste qui n’est pas un Assassin (à une époque où le conflit Assa-Templiers n’existe d’ailleurs pas, car aucune des factions n’est encore née). Ce côté un peu décalé peut faire penser à ACIV, mais c’est encore différent.
Dans la forme, on reste sur la même chose : tuer les sales types, du sous-fifre au big boss, en passant par différentes épreuves. Mais Origins apporte la fraîcheur d’un héros qui n’est pas Assassin, d’une époque complètement éloignée des autres, avec une culture bien en marge des autres AC.
Au début, on est sacrément paumé. On ne sait où on est, qui on est, quand on est, ce qu’on veut et ce qu’on cherche. Tout est très flou, et les choses se révèlent petit à petit, ce qui permet de s’attacher à Bayek et de comprendre ce qui le motive.
Dans la forme, on reste sur la même chose : tuer les sales types, du sous-fifre au big boss, en passant par différentes épreuves. Mais Origins apporte la fraîcheur d’un héros qui n’est pas Assassin, d’une époque complètement éloignée des autres, avec une culture bien en marge des autres AC.
Au début, on est sacrément paumé. On ne sait où on est, qui on est, quand on est, ce qu’on veut et ce qu’on cherche. Tout est très flou, et les choses se révèlent petit à petit, ce qui permet de s’attacher à Bayek et de comprendre ce qui le motive.
Un point un peu moins positif d’Origins est l’aspect un peu flou des sales types dont je parle depuis tout à l’heure. Même maintenant, je ne saurais trop dire d’où ils viennent, comment ils ont accédé à leur position, ce qui les motive, comment ils se sont réunis… C’est flou, on a du mal à être marqué par l’un en particulier (bien qu’un ou deux m’aient marquée par leur cruauté (je pense à toi Crocodile)).
La fin est un peu étrange, avec d’un côté Bayek qui n’est toujours pas satisfait par la mort du big boss, Aya qui part accomplir ses propres désirs, Cléopâtre dans une impasse, la naissance un peu floue de Ceux qu’on ne voit pas… C’aurait pu être plus clair !
(Y'a des DLC (money, money !) qui suivent derrière, dont l'un est censé détailler la création de Ceux qu'on ne voit pas, mais d'après les vais que j'ai pu voir, on en sait pas vraiment plus...)
(Y'a des DLC (money, money !) qui suivent derrière, dont l'un est censé détailler la création de Ceux qu'on ne voit pas, mais d'après les vais que j'ai pu voir, on en sait pas vraiment plus...)
Aspect historique :
Comme toujours, Ubisoft fait un travail de dingue sur l’ambiance des AC. Depuis le tout premier jusqu’à Origins, Ubi nous offre une expérience d’immersion unique dans des contrées et des époques différentes. Si les derniers commençaient à devenir répétitifs, en usant et abusant du XVIIIe siècle, ACO fait un bond dans le passé pour nous offrir une expérience de jeu magique dans la fin de l’Égypte des pharaons. C’est d’autant plus sympa que c’est l’époque de l’Égypte Antique qu’on étudie le plus à l’école. On redécouvre alors les Ptolémée, Cléopâtre, Jules César…
Comme je ne suis pas du tout historienne et que je fonde mes connaissances sur les souvenirs vaporeux que j’ai de mon collège, je dirais que l’ambiance est bonne, avec, certes, sûrement des anachronismes et quelques trucs cheatés, mais globalement correcte et fidèle. Ubisoft n’a pas pour habitude de niquer le système en foirant leurs études historiques et, vue les sources assez minces qu’on a de cette époque, je trouve qu’ils se sont bien débrouillés. Les novices comme moi peuvent apprécier le mélange des cultures, les arts, les traditions, les mythologies… présentés dans le jeu. D’un coup d’œil, on reconnaît les Égyptiens des Grecs et des Romains.
Chaque ville présente une architecture unique, propre à sa culture et à sa géographie. Les villages nous permettent de mieux comprendre la vie de la population à cette époque.
Sans compter sur les petits messages informationnels anecdotiques qui apparaissent lors des temps de chargement.
Puis, récemment, un mode « visite historique » a été développé dans le jeu, pour visiter la carte et avoir des informations sur tous les personnages, lieux et événements présentés. J’ai pas encore eu l’occasion d’essayer, mais ç’a l’air vraiment chouette !
Comme je ne suis pas du tout historienne et que je fonde mes connaissances sur les souvenirs vaporeux que j’ai de mon collège, je dirais que l’ambiance est bonne, avec, certes, sûrement des anachronismes et quelques trucs cheatés, mais globalement correcte et fidèle. Ubisoft n’a pas pour habitude de niquer le système en foirant leurs études historiques et, vue les sources assez minces qu’on a de cette époque, je trouve qu’ils se sont bien débrouillés. Les novices comme moi peuvent apprécier le mélange des cultures, les arts, les traditions, les mythologies… présentés dans le jeu. D’un coup d’œil, on reconnaît les Égyptiens des Grecs et des Romains.
Chaque ville présente une architecture unique, propre à sa culture et à sa géographie. Les villages nous permettent de mieux comprendre la vie de la population à cette époque.
Sans compter sur les petits messages informationnels anecdotiques qui apparaissent lors des temps de chargement.
Puis, récemment, un mode « visite historique » a été développé dans le jeu, pour visiter la carte et avoir des informations sur tous les personnages, lieux et événements présentés. J’ai pas encore eu l’occasion d’essayer, mais ç’a l’air vraiment chouette !
Bon, voilà pour cette looongue critique. Je me suis lâchée, mais j’estime que ça valait le coup. Même si j’ai ce coup de cœur un peu rageux et puriste pour ACII, Origins est vraiment, vraiment, un bon jeu, et, au-delà, un bon AC comme Ubisoft en avait pas fait depuis des années.
Si vous avez l’occasion d’y jouer, jetez-vous dessus !
Si vous avez l’occasion d’y jouer, jetez-vous dessus !